Présentation du duo d’artistes Dourone
Dourone est un duo d’artistes.
D’un côté Fabio Lopez, un artiste espagnol qui a fait ses débuts dans le monde de l’art à l’âge de 14 ans. Dès 1999, il s’est consacré à la réalisation de graffiti dans les rues de Madrid, sa ville natale.
En 2012, Elodie Arshak le rejoint. Dourone devient donc un duo et prendre un nouveau virage. Tout en continuant à créer des œuvres originales en studio, le duo Dourone se concentre alors sur le muralisme international.
Deux artistes muralistes internationaux
En 2014, le couple a d’abord déménagé à Paris, mais après une année de travail intense dans la capitale française, ils ont décidé de partir à Los Angeles, où ils ont créé, à partir de 2015, 9 grandes fresques, dont une en face du Staples Center qui sera classée au patrimoine de la ville.
Dourone a ensuite choisi de quitter leur studio parisien et voyager pendant 4 années consécutives à travers 22 pays différents et de peindre dans 65 villes différentes, pour un total de 107 fresques de grand format.
Dans le même temps, leur travail a été exposé dans des galeries à Madrid, Barcelone, Paris, Los Angeles, Dubaï, Genève, Miami, Mulhouse, Atlanta, Munich, Bruxelles, et le couple a participé à des foires d’art contemporain internationales telles que Scope Miami et Scope New York, Art Elysée Paris et Moniker Art Fair New York. En 2015, Dourone a été invité à participer à une exposition de groupe organisée par le C.A.C (Centro de Arte Contemporáneo) de Malaga, en Espagne. La même année, ils ont réalisé leur première peinture de grand format (9x6m) pour la collection permanente du Straat Museum d’Amsterdam.
Depuis 2023, une nouvelle direction pour Dourone
Depuis 2023, ils présentent une nouvelle collection intitulée « Dans le Non-Quotidien ». Cette série explore la recherche d’un équilibre dans des situations où l’on peut voir le verre à moitié plein ou à moitié vide. Elle invite à la réflexion sur notre propre positionnement face aux moments de la vie quotidienne. Les sensations prennent une matérialité qui nous permet de comprendre notre affectivité et nos émotions. Ainsi, le potentiel subversif des œuvres se trouve autant dans leur dimension esthétique que dans un discours plus ou moins explicite.